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votre recherche : eric
Ton amour a grandi avec moi
Référence : ELP_AMOUR2
Date de parution : 01.06.2020 à h:
Poids : 180 Gr.
Nb de Pages : 205
Disponible
Prix : 13,00 €
Présentation
NOUVELLE EDITION
Ces textes du Père Marie-Eugène nous font entrer au cœur du message thérésien : la découverte expérimentale de l'Amour miséricordieux de Dieu. L’auteur pose les fondements de la voie d’enfance spirituelle et nous y entraîne afin que nous aussi devenions disciples de la petite Thérèse. À lire en écho avec Pour la joie de Dieu - Retraite spirituelle avec Thérèse de Lisieux du même auteur.
La version ebook est toujours celle de 1987, et non de 2020.
Référence : ELPME_ENFANT
Date de parution : 24.11.2018 à h:
Poids : 166 Gr.
Nb de Pages : 170
Disponible
Prix : 13,50 €
Présentation
Nouvelle édition des Premiers pas de l'Enfant-Dieu.
"Regarder l'Enfant-Jésus éclaire. Dans l'impuissance, il y a tout l'horizon de la divinité, de l'infini." Le bienheureux Marie-Eugène nous livre le fruit de sa méditation de l'Évangile. Il contemple le mystère du Fils de Dieu fait homme. Mystère de joie qui révèle la vocation divine de toute personne ; mystère d'abaissement qui encourage et entraîne car la pauvreté attire les débordements de la miséricorde.
Référence : EL_POC_BERTHE
Date de parution : 06.03.2019 à h:
Poids : 113 Gr.
Nb de Pages : 195
Disponible
Prix : 9,50 €
Présentation
Elle a laissé voir Dieu… Immergée dans le quotidien d’une vie tout ordinaire, Berthe Grialou, membre de Notre-Dame de Vie, a suivi son frère, le bienheureux Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, sur les chemins de foi et d’amour tracés dans Je veux voir Dieu. Il l’a guidée avec respect et grande affection, elle lui a partagé ses combats, ses révoltes, ses faiblesses. Elle a crié son désir de lumière et Dieu lui a donné de transformer sa pauvreté intérieure en vase de miséricorde.
Carmelight : une collection au format et au prix poche pour répandre la lumière du Carmel
Référence : ELCV_REFLEXIONS
Date de parution : ---
Poids : 90 Gr.
Nb de Pages : 165
Uniquement en ebook
Prix : 10,00 €
Présentation
Louise de La Vallière, favorite de Louis XIV, entrée au monastère des Carmélites de Paris où elle mourrut en 1710, après trente-six années de pénitence et de solitude, a inspiré nombre de biographes, de romanciers et de rêveurs à l'imagination plus ou moins débordante. La vocation de Louise de La Vallière, son passage de la Cour de Louis XIV au cloître dépouillé du Carmel,est un témoignage toujours actuel de la puissance de la Miséricorde du Christ qui n'est pas venu " appeler les justes, mais les pécheurs " (Mt 9,13), car la Miséricorde est eternelle...
Référence : L905530
Date de parution : 01.06.2008 à h:
Poids : 335 Gr.
Nb de Pages : 241
Disponible
Prix : 25,00 €
Présentation
L'"art d'éduquer" constitue le point focal où viennent s'unifier la démarche philosophique, la recherche anthropologique et le parcours spirituel d'Edith Stein. En envisageant l'éducation comme cet art qui participe d'une véritable recréation de l'homme, Edith nous convie, avec une audace toute prophétique, à la contempler comme un service éminent de la dignité de la personne, et à la vivre comme un geste anthropologique intégral. Une éducation attentive à l'unicité de la personne et à sa dimension communautaire, respectueuse de sa vocation naturelle et surnaturelle.
Référence : ELSC_AMOUR
Date de parution : 12.09.2025 à h:
Poids : 150 Gr.
Nb de Pages : 120
Disponible
Prix : 17,00 €
Présentation
Découvrez le Petit Catéchisme et l’Acte d’offrande à l’Amour miséricordieux selon sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, par sa soeur Céline. Un guide lumineux pour se livrer totalement à Dieu, avec confiance et amour. Une voie simple et profonde pour consoler son Coeur et sauver des âmes.
Vivez l’acte d’amour le plus pur avec sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.Ce Petit Catéchisme de l’Offrande à l’Amour Miséricordieux répond aux âmes désireuses de suivre « la petite voie » de Thérèse. Tiré de ses propres écrits et de ses enseignements aux novices, il éclaire un acte inédit dans l’histoire spirituelle : l’offrande totale de soi à l’amour, non à la justice, mais à la miséricorde infinie de Dieu.Un guide précieux pour entrer dans l’intimité de Dieu avec confiance, humilité et abandon, et devenir, comme Thérèse, une « victime d’amour » consumée dans la fournaise divine.Une lecture bouleversante et lumineuse, pour tous ceux qui cherchent à aimer Dieu comme Il le désire.Un livre profond, simple, essentiel.Découvrez le Petit Catéchisme et l’Acte d’offrande à l’Amour miséricordieux selon sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, par sa soeur Céline. Un guide lumineux pour se livrer totalement à Dieu, avec confiance et amour. Une voie simple et profonde pour consoler son Coeur et sauver des âmes.Écrit par sa soeur Céline, c’est le complément peu connuà découvrir avec son Autobiographie : Autobiographie de la sœur et novice de la Petite Thérèse sur Editions du Carmel
Référence : ELSOC_LIVMISERI
Date de parution : 27.02.2023 à h:
Poids : 500 Gr.
Nb de Pages : 500
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
en parle le 6 avril 2023 :
On ne peut que se réjouir de la nouvelle présentation du chef d’œuvre thérésien, Le Livre des miséricordes, connu davantage sous le titre de Livre de la vie, repris ici dans la traduction du Père Grégoire de Saint Joseph (1813-1891), carme, introduite et annotée par Stéphane-Marie Morgain, carme, et révisée par Jean-Claude Jaffé pour la traduction approuvée en 1948 par le Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus (Henri Grialou, 1894-1967). Proche de l’original thérésien, elle se base sur le texte de référence du Père Tomas Alvarez (1923-2018), grand spécialiste thérésien espagnol, en conciliant fidélité à l’original et meilleure compréhension pour le lecteur moderne. Cette nouvelle version ne se veut pas seulement actuelle dans sa traduction – « approche toujours mouvante, ligne de crête à risque pour tous les temps » (p. 29)–, mais aussi en raison de sa spiritualité féconde.
Stéphane-Marie Morgain, spécialiste du XVIIe siècle français et professeur émérite de l’Institut catholique de Toulouse, du Teresianum à Rome et de l’Institut catholique de Paris, retrace à grands traits – en introduction – l’histoire enchevêtrée de ce premier écrit de Thérèse, le plus long et le plus riche, parce que « le plus proche de la personne et de la pensée de son auteur » (p. 6). Cette narration, « clef d’interprétation de son enseignement » (p. 6), est difficile plus que tous les autres écrits à cause, tout d’abord du « ton confidentiel, presque secret du texte » (p. 8), une « autobiographie impersonnelle » destinée à un petit groupe d’amis. Difficile également en raison de son « dualisme thématique », ce dédoublement de l’argumentation à la fois narrative et biographique, mais aussi doctrinale et pédagogique. Récit et enseignement s’entrecroisent en permanence au fil du récit. Le périple aventureux de ce livre thérésien s’étend entre 1562, l’année de la première version (il y en aura beaucoup !), 1575, l’année où l’original fut confisqué par l’Inquisition et 1588, l’année de la première édition par Louis de León à Salamanque, après la mort de la Madre. Tous les aspects de cette autobiographie au succès ininterrompu depuis plus de quatre siècles sont évoqués : genèse de sa composition et de ses différentes versions, structure du livre, contenu doctrinal avec son thème majeur qu’est l’oraison au cœur du livre. L’oraison mentale pénètre aussi bien l’existence de Thérèse que la doctrine de son récit, elle a la fonction précise de « tenir la misère ouverte à la miséricorde » (p. 27). Elle exprime aussi le rapport mutuel entre les deux protagonistes – Dieu et l’âme – et le réalise. Destinée en premier lieu à un petit cercle de destinataires, ce « livre thérésien s’adresse le plus expressément à un public illimité » (p. 27). Faut-il encore souligner la chronologie détaillée de la vie de Thérèse de Jésus ainsi que la richesse des 744 notes explicatives et claires qui en facilitent la lecture ? N’oublions pas que ce Livre de la Vie a orienté vers la foi catholique sainte Edith Stein !
Christiane Meres
Autobiographie au succès ininterrompu depuis plus de 4 siècles. Ce grand classique de la spiritualité est aussi le moyen le plus direct de connaître Thérèse d’Avila. Un texte palpitant qui entraîne à la suite de la Sainte dans les profondeurs de l’amitié avec Dieu. La traduction - revue pour être au plus près de la pensée de Thérèse - a été entièrement révisée dans un français moderne. Une riche introduction reprenant tous les aspects de l’ouvrage – historique, doctrinal, composition, etc. – ainsi qu’une chronologie détaillée de la vie de la Sainte, forment un outil précieux d’initiation et de formation à l’œuvre de Thérèse. Un appareil de notes explicatives simples facilite la compréhension du lecteur.
Ce livre est celui qui a converti Edith Stein...
Référence : ELVI_PERE
Date de parution : 28.03.2025 à h:
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Nous connaissons la magnifique parabole du fils prodigue, mais l’auteur en prolonge la lecture pour regarder le Père Prodigue qui s’y révèle: prodigue dans son amour fidèle pour nous, dans sa miséricorde infinie. Ce texte nous est montré comme étant la base même de notre foi, soulignant le fondement de notre existence naturelle et spirituelle. Un principe de vie pour nous, enfants de Dieu. L’inépuisable parabole du retour de l’enfant prodigue (Luc, chap. 15) résume à elle seule la nouveauté du Nouveau testament et la rédemption universelle que le Christ Jésus vient apporter à toute l’humanité. Ce texte constitue comme un sommet de la révélation divine, et de la paternité d’un Dieu qui ne cesse de vouloir nous prodiguer son Amour, sa miséricorde infinie. L’auteur en fait la lecture dans une perspective à la fois philosophique, théologique et mystique afin d’en mieux percevoir toute la richesse. La réflexion se déploie en effet sur le double plan de la foi et de l’anthropologie chrétienne, tant cette parabole est une synthèse de l’existence du Dieu biblique et de la relation qu’Il entretient de toute éternité avec les créatures humaines, avec chacun de nous. Nous pénétrons le mystère de l’Alliance, ancienne et nouvelle, don d’Amour donné, librement consenti, accueilli par la grâce. De la théologie? pas tant qu’une méditation pour retrouver avec gratitude la source de notre foi.
Cliquez sur ce lien pour écouter l'émission du Frère Jean-Gabriel au sujet du Père prodigue : Le Père prodigue, fidèle et miséricordieux - Radio Présence
Relue à l’aide de sainte Thérèse de Lisieux, la parabole du fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) nous enseigne que c’est vraiment Dieu qui est en fait le « Père prodigue ». Le père Rueg, carme de Toulouse, vient d’écrire un bel essai sur ce thème, il nous en fait ici une synthèse. par Fr. JEAN-GABRIEL RUEG, OCD «L’enfance spirituelle, c’est la conscience de la gratuité de la rédemption et la recherche de ce don comme gratuit », écrivait André Combes dans son Introduction à la spiritualité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jé sus. Cette conscience a en partie motivé l’écri ture de cet ouvrage (1), qui se veut être « une lec ture thérésienne » de la parabole dite « du fils prodigue » dans le chapitre 15 de saint Luc. La conscience claire que tout, dans notre vie chré tienne, relève des libéralités d’un Dieu qui désire nous prodiguer gracieusement ses bienfaits. À commencer par sa création, dont Il est le Prin cipe. Le premier don que Dieu nous fait, c’est en effet « la grâce d’exister ». L’épître aux Romains (4, 17) rappelle que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas », tandis que la métaphysique chrétienne atteste que le don de l’être constitue la première alliance où Dieu se dit. Car nous n’avons été créés, selon saint Jean de la Croix, que par et pour son Amour. La parabole du fils prodigue n’est donc pas à lire « comme une anecdote illustrative, mais comme une véritable fresque de l’histoire de l’humanité dans les heurs et malheurs de son alliance avec Dieu » (préface). Tout commence en effet par « le don de notre être », que Dieu nous fait, gratuitement, qui est marqué dans la parabole par « l’héritage », que le fils cadet vient réclamer à son père. Dans le texte original grec, saint Luc emploie le terme « ousia » pour cette « part d’héritage »; c’est ce même mot qu’emploie la philosophie grecque pour désigner ce qu’est une réalité, on dira une « substance » ou encore « une essence »; plus sim plement: « ce qui est ». Saint Thomas d’Aquin va pousser plus loin la réflexion en disant que toute réalité ontologique tire son existence, non d’elle même, mais de ce Dieu qui se présente à Moïse comme « Celui qui est » (Ex 3, 14): c’est là le seul nom qui n’altère pas son Mystère, mais nous dit qu’Il est la Source de tout ce qui est. Lui seul peut dire: « Je suis », sans aucune limitation d’être… Son Essence, c’est son Existence elle même, dira le Docteur angélique. Notre ousia n’existerait donc pas sans le Dieu créateur, puisque c’est Lui qui nous donne d’être ce que l’on est. En ce sens, on peut dire que « l’existence précède l’essence », une formule fameuse de l’exis tentialisme moderne, mais qu’il faut entendre d’une tout autre manière en philosophie chré tienne. Pour Sartre, je fais ce que je veux de mon existence, sans nulle autre contrainte que celle que fixe ma liberté, seule étoffe de mon être, et qui n’est tributaire ni d’aucun Dieu ni d’aucune nature humaine ou essence… Dans cette attitude, on veut tout tirer à partir de soi-même: on retrouve sans peine l’orgueil du premier péché qui a poussé l’homme à vouloir se suffire à lui-même, tout comme l’enfant prodigue à dilapider son héritage en oubliant son dona teur. Si Dieu nous fait « passer du néant à l’être », c’est pour que nous en disposions librement en harmonie avec son dessein d’amour et de sa gesse. Le Père, avant de pardonner, est celui qui donne sans compter… En son Fils, son Unique Parole, Il nous a tout donné, dira encore Jean de la Croix. Le Christ vient reprendre l’œuvre du Père pour la Lui réordonner. Jésus est le « Vrai fils aîné » de notre parabole: « tout ce qui est à moi est à toi », ce sont tout à la fois les mots du Christ en saint Jean et ceux du père de notre parabole à l’adresse de son fils aîné… Le Christ rend manifeste la tendresse infinie d’un Dieu toujours fidèle à Lui-même, à sa Promesse et à son Alliance. Il nous « prodigue » sans compter son Amour. Ce retour vers le Père ne peut cepen dant se faire sans notre consentement, et im plique notre conversion: « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 3). Ce pendant, celle-ci relève encore de la miséricorde du Père. Si la Tradition parle de justification in térieure par la foi, c’est que cette vertu nous rend capables d’être transformés en Dieu par l’action de Son Esprit, qui, tel le feu, peut transformer toutes choses en lui-même, pour employer une image thérésienne tiré de son Acte d’offrande. Le désir et l’accueil du don Le cœur de l’homme est ainsi appelé à accepter librement le bonheur que Dieu lui offre et qui ne peut être que le fruit de Sa grâce. Le désir et l’ac cueil reconnaissant du don de Dieu seront donc les éléments humains privilégiés du dialogue. En effet, celui qui demande ou désire le salut sauve son âme; et cela vaut pour tous les hommes; il suffit ainsi d’un instant de désir, comme pour le criminel Pranzini, que la prière de Thérèse a sauvé, non de la guillotine, mais de l’impénitence finale et de l’enfer. « La plus grande menace pour l’homme est celui de perdre Dieu », déclarait Be noît XVI. La joie du Père relève de la conscience aiguë de ce risque: « Il fallait se réjouir, car ton frère était perdu, et le voici retrouvé. » Dieu, qui est riche en miséricorde, ne peut laisser l’homme au désespoir de la mort spiri tuelle. Il est le Père prodigue d’un Amour qui ne s’éteint jamais. Non seulement il pardonne, mais il se donne lui-même sans retour. La Petite Thé rèse est un témoin sûr de sa miséricorde. Elle a compris que toute notre vie dépendait de ce Père des Lumières de qui vient tout don parfait. Et que le seul chemin pour retourner vers Lui était de recevoir de Lui tout ce qui nous est nécessaire pour vivre. Comme des enfants… Pour cela, il nous faut entrer en nous-mêmes, dans cette vie spirituelle où il s’agit de demeurer avec le Christ, à l’instar du fils cadet de notre parabole, pour y percevoir la présence de ce « Père prodigue », qui n’a cessé de manifester Son Amour tout au long de son Alliance, et reste fidèle à l’éternel dessein de Sa providence et de Sa grâce. J.-G. R. ______________________________________________________________________
Bulletin de spiritualité monastique La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. J’ai lu Le Père prodigue, un petit essai thérésien qui apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile. Il existe des phrases qui en un instant nous transportent dans un univers plus vaste que le nôtre. Voici Jésus assis face à des pharisiens agités. Tout le monde parle en même temps, tout le monde veut argumenter. On se coupe la parole. On hausse le ton. Alors Jésus, les yeux baissés, murmure : « Un homme avait deux fils… » L’auditoire intrigué se tait. Et Jésus énonce à mi-voix les mots ineffaçables que depuis vingt siècles nous ne cessons de relire et de méditer : « Le plus jeune dit à son père : donne-moi la part d’héritage qui me revient. Et le père leur partagea ses biens » (Lc 15, 12). Ces mots ordinaires, sans le moindre adjectif, introduisent la plus belle page de la littérature mondiale. La parabole du fils prodigue fait du charpentier de Nazareth le plus grand écrivain parmi les enfants des hommes. Mais cela finalement n’est pas très important en comparaison de l’essentiel, qui est que cette allégorie improvisée devant des pharisiens acrimonieux, subtile dans sa psychologie et magnifique dans sa composition, nous éclaire sur le mystère de l’être et de la rédemption. Elle dit tout de notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour. Notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour est précisément au cœur de l’essai que frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, vient de publier aux éditions du Carmel. Ce petit livre dense propose « une lecture thérésienne de la parabole du fils prodigue ». Derrière un titre paradoxal, Le Père prodigue, frère Jean-Gabriel offre une réflexion savante mais non pas absconse sur le mystère de l’être et le mystère de Dieu. La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. Il est le Père prodigue qui, au-delà de tous nos refus, destine sa création au bonheur. Il est le Père patient par qui tout est grâce. Il nous suffit, chose terriblement simple, de lui dire oui. Le texte, précédé d’une préface lumineuse de Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Toulouse, apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile, celle qui a inspiré tant d’artistes et de saints. Le livre fourmille de références, depuis les philosophes grecs jusqu’au théologien Ratzinger. Il ne nous épargne aucun effort. Il est assurément un livre à lire crayon à la main, tant il est riche. Il est exigeant. Pour un peu, l’ouvrage finirait par faire de nous, simples lecteurs, de vrais métaphysiciens. À un certain moment, m’est venue cette image : un jeune lecteur aborde le Christ. Il se jette à ses pieds et lui demande : « Bon maître, que dois-je faire pour être un bon théologien ? – Tu le sais, répond Jésus : n’oublie pas de prier et pense à relire Bergson et Maritain. – Bergson et Maritain, je les ai lus depuis ma jeunesse, dit le lecteur. – Une seule chose te manque : vends tes livres, résilie tes abonnements en ligne et donne l’argent au Secours catholique. Puis viens et suis-moi ». Alors le jeune lecteur s’en alla tout triste, car il possédait une vaste bibliothèque. Comme il est difficile à un théologien d’entrer dans le royaume de Dieu ! Je n’insiste pas. Le livre de Jean-Gabriel Rueg tient dans une poche de pantalon et il nous affermit dans notre foi : on peut suivre le Christ sans le quitter. Xavier Patier, Toulouse._________________________________________________________
REVUE NOVA & VETERA
Fr. Jean-Gabriel RUEG, O.C.D., Le Père prodigue, Dieu toujours fidèle, Une lecture théré-sienne de la parabole du fils prodigue, Vie intérieure 31, Éd. du Carmel, Toulouse, 2025, 188 p.
Le titre de l’ouvrage ne peut manquer d’interpeller le lecteur. Attribuer au père de la parabole évangélique le qualificatif du fils prévaricateur, c’est remonter à la source même de l’histoire du salut et en offrir une clé herméneutique. En effet, pour comprendre le dévoiement de la liberté du fils prodigue, il faut d’abord saisir la prodigalité du don du père. Aussi est-ce au prisme de la libéralité de Dieu que le Frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, ressaisit en une synthèse puissante tout le dessein divin de création, de rédemption et de sanctification des hommes.
Le premier chapitre se présente comme une longue méditation métaphysique sur le don de l’existence, participation à l’être même de Dieu. Cette « grâce d’exister », selon la belle ex-pression de J. Ratzinger (p. 11), constitue la perfection première de toute créature, perfection que celle-ci est incapable de produire par elle-même, mais qu’elle reçoit de Dieu. Le don de l’acte d’être « manifeste la sublime libéralité d’amour de son Généreux Auteur tout autant que la formidable puissance créatrice d’un Amour divin et personnel » (p. 37). Ce prodigieux amour ne s’impose pas à la créature, mais s’offre à son libre acquiescement. C’est le drame du fils cadet de la parabole que de revendiquer pour lui sa part d’héritage (dans le texte grec : ousia, essence ou substance) en s’émancipant de sa dépendance ontologique et filiale, à l’instar de nos premiers parents au jardin d’Éden. Le chapitre 2 nous décrit la spirale destruc-trice du péché, nous rappelant le risque immense de la perdition éternelle. Il doit être lu à la lumière du chapitre suivant, consacré à la conversion, laquelle consiste avant tout à consentir à l’amour. Notre liberté ne s’épanouit que dans le bien, souligne l’A. : « Je suis vraiment libre et je décide de la plénitude de mon existence à partir du moment où je prends la décision d’adhérer au don de la grâce » (p. 80-81). Dès lors que l’âme s’ouvre à cette grâce, elle pro-duit les fruits des vertus théologales. Les chapitres 4 à 6 peuvent être rattachés respectivement à la foi, à la charité et à l’espérance. Par le don de la foi, nous sommes justifiés, c’est-à-dire que nous participons à la justice même de Dieu. Nous ne pouvons que nous disposer à ac-cueillir ce don immérité, si bien que dans cette œuvre de conversion du cœur éclatent tout ensemble la justice et la miséricorde divines – d’où l’image thérésienne de l’ascenseur pour monter jusqu’au ciel (p. 96). Par la charité, nous demeurons en Dieu, lui rendant amour pour amour et portant du fruit pour le salut des âmes. Par l’espérance, enfin, nous sommes préser-vés d’un triple écueil : le naturalisme, la mondanité spirituelle et l’autosuffisance d’un monde émancipé de Dieu, dont l’ultime avatar est le projet prométhéen du transhumanisme. Le der-nier chapitre est une invitation à « entrer en soi-même » pour y expérimenter la présence agis-sante de Dieu, à l’école de saint Thomas d’Aquin et des maîtres du Carmel. L’A. conclut en soulignant, avec celle qu’il se plaît à appeler « le plus jeune Docteur de l’Église », que c’est notre faiblesse reconnue qui attire la miséricorde, la « bienheureuse indigence » de la créature appelant les flots de la « sainte prodigalité divine » (p. 171).
Le présent ouvrage n’offre pas seulement un riche enseignement didactique, il nous presse encore d’entrer dans la voie d’enfance spirituelle. Qu’il nous soit permis de proposer trois étapes, relevées au fil de notre lecture, de cet itinéraire de l’âme : recevoir, consentir, rendre. Explicitons : recevoir d’un Autre l’existence (p. 26), le sens de sa vie (p. 104), l’amour comme un don (p. 106), le mérite (p. 136) ou la contemplation (p. 168) comme une grâce ; consentir au salut (p. 108), à l’amour transformant (p. 122), à l’emprise de l’Esprit (p. 158) ; rendre amour pour amour (p. 125-130), rendre grâce pour tout car en définitive « tout est grâce » (p. 94) : tout vient de Dieu et tout retourne à lui (p. 54). Et puisque « la suprême ac-tion de grâce consiste précisément à recevoir ses grâces » (p. 176), nous voilà entraînés dans le circuit dynamique de l’enfance spirituelle qui se nourrit du va-et-vient entre l’accueil et la gratitude.
De ce livre où se mêlent philosophie et cinéma, théologie et littérature, le lecteur fera son miel selon son inspiration personnelle. En témoignent la préface de Mgr Jean-Pierre Batut et la postface de Michel Nodé-Langlois, l’une et l’autre remarquables. À chacun de s’approprier cette ode à la libéralité de Dieu et d’y trouver un chemin de retour vers le Père prodigue.
Fr. Robert Augé O.S.B.
Référence : RVC_APR179
Date de parution : 01.05.2022 à h:
Poids : 180 Gr.
Nb de Pages : 128
Disponible
Prix : 12,00 €
Présentation
Enracinés en Dieu
Des racines et des fruits (entretien avec Martin Steffens)
L'enracinement dans la terre du Carmel (Frère Henri de l'Enfant-Jésus ocd)
Pénétrer les profondeurs (Saint Jean de la Croix)
L'enracinement en Dieu selon Edith Stein (Eric de Rus)
L'enracinement en Dieu selon saint Bonaventure (Laure Solignac)
S'enraciner dans la vie religieuse (Frère Armand Levillain ocd)
L'enracinement des époux en Dieu par la chasteté conjugale (Gabrielle Vialla)
Chroniques
Sainte Thérèse del'Enfant-Jésus et la contemplation (suite) (Frère Jean-Fabrice du Christ-Roi ocd)
La présence permanente du Corps de Jésus en nous après la communion comme véritable inhabitation eucharistique, selon la servante de Dieu Mère Rosetta Marchese (suite) Fr François-Marie Léthel ocd
Référence : RCA_NDIVERS
Date de parution : 03.02.2017 à h:
Poids : 180 Gr.
Nb de Pages : 128
Disponible
Prix : 11,00 €
Présentation
Le premier mot de la Miséricorde - L'éducation au risque de la Miséricorde - Notre Dame du Mont Carmel, Mère de Miséricorde - Se cacher dans la Miséricorde de Dieu - Thérèse apôtre de la Miséricorde - La Miséricorde, brûlure du désir de gloire.
Au coeur de la Miséricorde divine avec Thérèse ...
Référence : L903554
Date de parution : ---
Poids : 356 Gr.
Nb de Pages : 290
Disponible
Prix : 17,90 €
Présentation
Parmi le grand nombre d’études consacrées à Thérèse d’Avila, aucune à ce jour n'avait mis en lumière dans toute son ampleur son expérience extraordinaire de la miséricorde divine. L'auteur analyse la genèse de cette expérience, la situe dans son cadre social, historique et dans son itinéraire spirituel .La Miséricorde Divine apparaît clairement comme la clé de la pensée thérésienne. Thérèse nous conduit, par son expérience personnelle, à la contemplation du Dieu vivant Dieu se penche vers l’homme avec amour, pour le relever de sa misère, lui révéler sa dignité, et partager avec lui une amitié divine.
Référence : L901523
Date de parution : 10.11.2016 à h:
Poids : 340 Gr.
Nb de Pages : 263
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
Quelle personne saine d'esprit envisagerait aujourd'hui de s'offrir "comme victime d'holocauste à l'Amour miséricordieux" ? Ces mots, trop chargés d'histoire tragique, restent encore énigmatiques. Pourtant, sans ce point de départ de juin 1895 toute l'évolution spirituelle de Thérèse serait incompréhensible, comme le serait aussi sa découverte d'un Dieu dont la justice se fait miséricordie.
L'acte d'offrande de Thérèse de Lisieux à l'Amour ...
Référence : L901601
Date de parution : 15.07.2011 à h:
Poids : 185 Gr.
Nb de Pages : 156
Provisoirement indisponible
Prix : 12,00 €
Présentation
Le jour de la fête de la Sainte Trinité, le 9 juin 1895, Thérèse reçoit la grâce de comprendre combien Dieu désire être aimé. Elle s'offre en « victime d'holocauste à l'Amour miséricordieux ». Cette même année, elle rédige le Manuscrit A, 12 poésies dont « Vivre d'Amour » et 3 récréations pieuses. Parvenue à une maturité spirituelle, libérée de l'esprit de crainte que le jansénisme avait répandu, Thérèse peut laisser s'épanouir l'esprit d'Amour qui est sa vocation. Dans « L'Acte d'offrande » qu'elle compose ce jour-là, elle condense tout ce qui fait sa spiritualité : son désir infini de ressembler à Jésus et de lui être unie, la grâce de comprendre que c'est en passant par le creuset de la souffrance qu'elle lui ressemblera le mieux et, par là, qu'elle réalisera son désir de sauver les âmes. Dans son premier livre, « En retraite avec sainte Thérèse de Lisieux » Jacques Fau avait commencé à méditer cette prière. Imprégné du même esprit apostolique qui a toujours animé Thérèse, ce nouvel ouvrage nous montre un chemin qui ne comporte aucune action extraordinaire, qui n'a pas peur d'une justice sévère de Dieu, qui ne recherche pas non plus à « amasser des mérites pour le Ciel ». Elle veut agir par amour, uniquement pour faire plaisir. En méditant « L'Acte d'offrande », chacun pourra se sentir stimulé pour affronter sereinement les difficultés de chaque jour, chacun, à l'école de sainte Thérèse, apprendra à trouver la joie parfaite, « en fixant l'invisible lumière qui se dérobe à nos yeux ».
Référence : L901540
Date de parution : ---
Poids : 195 Gr.
Nb de Pages : 162
Provisoirement indisponible
Prix : 15,00 €
Présentation
En 1895, Thérèse est arrivée à une grande maturité spirituelle. Son âme s'est mûrie dans le creuset des épreuves extérieures et intérieures et elle reçoit la grâce de comprendre, plus que jamais, combien Jésus désire être aimé : alors elle s'offre en victime d'holocauste à l'Amour miséricordieux. On n'aura jamais fini de découvrir toutes les richesses de ce texte, dans lequel l'âme de Thérèse se dévoile au plus profond ; toute sa spiritualité y est condensée : le désir de sainteté, la connaissance de son impuissance, mais aussi la découverte de l'esprit d'enfance, en même temps que la confiance infinie en l'Amour miséricordieux.
Référence : L906002
Date de parution : 01.03.2008 à h:
Poids : 200 Gr.
Nb de Pages : 125
Disponible
Prix : 15,00 €
Présentation
Dans le sillage des saints du Carmel, le père Marie-Eugène convie les chrétiens à entrer dans l'intimité du Dieu vivant au coeur de l'activité quotidienne. À travers difficultés, contradictions, souffrances, épreuves multiples, le chemin vers Dieu peut devenir aussi un chemin de joie. C'est la spécificité de cette joie, la joie de la miséricorde qui se dégage avec force de son enseignement. La joie de la miséricorde transfigure nos détresses et donne consistance à toutes nos joies au quotidien parce qu'elle répond à un attrait puissant qui nous vient d'un Dieu de Joie.
Bibliographie complète à télécharger gratuitement en pdf.
Référence : L909181
Date de parution : 22.12.2017 à h:
Poids : 140 Gr.
Nb de Pages : 120
Disponible
Prix : 13,00 €
Présentation
La miséricorde est une clé de comprehension de la vie et de l'oeuvre de Madeleine Delbrêl. "À nous, il n'est demandé que de rester dans le jaillissement de Dieu. À lui de nous donner les yeux, à lui de nous donner un coeur, à lui de nous donner l'amour."
Référence : L909263
Date de parution : 09.12.2009 à h:
Poids : 274 Gr.
Nb de Pages : 215
Disponible
Prix : 16,30 €
Présentation
L'auteur énonce les fausses interprétations de la justice divine et présente les vraies manifestations de cet attribut divin. Cela nous rend plus confiants dans la miséricorde de Dieu ... Le Christ n'est-il pas le Juste qui nous a rachetés ?
Référence : L909520
Date de parution : 01.01.2016 à h:
Poids : 266 Gr.
Nb de Pages : 212
Disponible
Prix : 19,00 €
Présentation
En s'appuyant sur plusieurs passages de la Parole de Dieu, l'auteur nous propose une méditation sur la miséricorde et les moyens par lesquels elle nous rejoint, en particulier dans les sacrements. Il nous invite également à réfléchir sur les oeuvres de miséricorde et sur le devoir de l'Église d'être miséricordieuse envers les pécheurs, comme l'était Jésus.
Référence : L909525
Date de parution : 08.01.2016 à h:
Poids : 353 Gr.
Nb de Pages : 255
Disponible
Prix : 16,00 €
Présentation
Cet ouvrage nous invite à entrer avec le coeur...dans le coeur du message de sainte Faustine pour faire une expérience vivante et personnelle de la miséricorde de Dieu.
Référence : L999999
Date de parution : 10.09.2025 à h:
Poids : 200 Gr.
Nb de Pages : 262
Disponible
Prix : 20,00 €
Présentation
"On en retient souvent sept : trois vertus théologales - foi, espérance charité - et quatre vertus cardinales - prudence, tempérance, justice et force. Sensible aux vertus moins établies, le père Jean-Yves Ducourneau les puise d'abord dans les figures de l'Évangile.
Sensible aux vertus moins établies, le père Jean-Yves Ducourneau les puise d'abord dans les figures de l'Évangile. La douceur, l'acceptation des souffrances, la pureté d'intention ou encore le désir de répandre la lumière de Dieu sont autant de qualités que nous sommes appelés à cultiver. Les vertus se trouvent également au-delà des Écritures, et l'auteur, à la lumière de son apostolat militaire, nous offre une catégorisation originale des « vertus de l'uniforme », vertus d'abnégation et de service inscrites dans la nature humaine. Elles sont source d'inspiration pour tous ceux qui cherchent à redonner cadre et élan à leur vie intérieure. C'est à l'école de Marie, modèle d'une humanité en chemin vers Dieu, qu'il achève ce voyage aux escales inattendues.
RADIO PRÉSENCE EN PARLE : « Voyage au pays des vertus » Père Jean-Yves Ducourneau - Ed Salvator - Radio Présence
à écouter ici => radiopresence.com/IMG/mp3/30102025_chrocarmel.mp3
Référence : L999999
Date de parution : 24.09.2025 à h:
Poids : 570 Gr.
Nb de Pages : 48
Disponible
Prix : 15,90 €
Présentation
Paris, 1831. Frédéric Ozanam, brillant étudiant de 18 ans, arrive de Lyon le coeur rempli d'idéal. Des bancs universitaires où il se lie d'amitié avec François Lallier, à ses rencontres avec Lamennais et Chateaubriand, puis avec Montalembert et Lacordaire qui se croisent chez Madame Swetchine, Frédéric cherche à défendre le christianisme en conciliant foi, raison et engagement.
Ainsi, bouleversé par la misère du monde ouvrier, il fonde avec un groupe d'étudiants la Conférence de Saint-Vincent-de-Paul, pour visiter et soutenir les plus pauvres, auxquels se consacre déjà soeur Rosalie Rendu. Il veut vivre sa foi non pas en paroles, mais en actes. Il renonce au métier d'avocat, se marie et devient professeur de littérature étrangère à la Sorbonne.
Des salons intellectuels parisiens aux barricades de 1848, Frédéric Ozanam porte la liberté de l'enseignement, rejette la lutte des classes du socialisme naissant, mais évolue vers l'idée de république et de démocratie chrétienne.
Entre combats journalistiques, espoirs et désillusions, cet homme de coeur cherche à unir et entraîne dans son sillage la première génération de catholiques sociaux dont fait partie Armand de Melun. Il peut être considéré comme l'un des précurseurs de la doctrine sociale de l'église.
Un récit captivant qui met en lumière les grandes questions politiques de cette époque.
Référence : L999999
Date de parution : 02.08.2025 à h:
Poids : 250 Gr.
Nb de Pages : 240
Disponible
Prix : 18,00 €
Présentation
Le père Adrien prend, le coeur gonflé d’espérance, son premier poste de curé dans la petite paroisse de Savigny. Mais, en quelques mois, il déchante : ses initiatives pastorales tombent à l’eau, la secrétaire paroissiale lui joue des coups pendables et personne n’écoute plus ses sermons. Adrien commence à fuir ses paroissiens, ses responsabilités… et son propre coeur d’homme. Il reçoit alors une mystérieuse invitation à un rendezvous nocturne au milieu de nulle part… où l’attendent ballon ovale, bain de boue et virile fraternité ! Commence alors une double vie haute en couleurs pour le prêtre rugbyman qui, par la force des choses, tait ses activités sportives à la paroisse comme sa véritable identité au club… Ce roman psychologique tout en finesse, porté par un humour subtil, se lit le sourire aux lèvres et la joie au coeur. On le finit avec deux envies : remercier le curé de sa paroisse… et se mettre au rugby !
Référence : L920066
Date de parution : 27.09.2024 à h:
Poids : 641 Gr.
Nb de Pages : 42
Disponible
Prix : 21,95 €
Présentation
Prières en chansons sonore complète pour prier avec les tout-petits. Livre cartonné !Mes premières prières en chansonsDes images et des chants pleins de joie pour commencer à prier.Avec un bouton on/off pour couper le son quand on emporte le livre à la messe !
Chants : Humblement dans le silence - Signe de croix chanté - Notre Père - Que ma bouche chante ta louange - Le Seigneur est ma lumière et mon salut - Le Cantique des créatures - Laudate Dominum - Kyrie de la messe de l'Emmanuel - Levons les yeux - Viens souffle de Dieu, viens - Ne crains pas - Je veux chanter ton Amour Seigneur - Tu es grand, Dieu saint - Seigneur mon secours - J"ai choisi l'amour du Seigneur dans chaque chose ordinaire - Que vienne ton règne - Esprit de lumière, esprit créateur - Hymne de la Croix - C'est par ta grâce - Jésus, mon Dieu, je t'adore -
Référence : L909708
Date de parution : 01.02.2017 à h:
Poids : 550 Gr.
Nb de Pages : 20
Disponible
Prix : 19,90 €
Présentation
Les grandes prières de l'Église et des saints, illustrées par Eric Puybaret. Notre Père / Je vous salue, Marie / Le Symbole des Apôtres / Gloria / Prière du matin / Veni Sancte Spiritus / / Prière pour lapaix (Saint François d'Assise) / Prière d’abandon (Bx Charles de Foucauld) / Cantique de Syméon / Seigneur Jésus, apprenez-nous (Saint Ignace) / Respire en moi (Saint Augustin) / Souvenez-vous (Saint Bernard) / Glorieux saint Joseph (Saint François de Sales)
"Grand format de presque 40x30, il mérite d'être exposé page après page au fil des jours pour profiter pleinement de la qualité des illustrations d'Eric Puybaret : inspirées, douces, exaltantes, évangélisatrices."
Référence : L930010
Date de parution : 01.10.2023 à h:
Poids : 71 Gr.
Nb de Pages : 65
Disponible
Prix : 4,50 €
Présentation
« Les innombrables "roses" que Thérèse répand sont le signe le plus beau de sa vitalité spirituelle, c'est-à-dire les grâces que Dieu nous donne par son intercession comblée d'amour, pour nous soutenir sur le chemin de la vie. »ThèmesGénie de la spiritualité de sainte Thérèse - Aimer Jésus - Une âme missionnaire - La grâce qui nous libère de l'autoréférentialité - La petite voie de la confiance et de l'amour - La primauté de l'action divine - La miséricorde infinie de Dieu - L'abandon quotidien - Un feu au milieu de la nuit - Une très ferme espérance - La charité comme attitude personnelle d'amour - Le plus grand amour dans la plus grande simplicité - Au cœur de l'Église - Une pluie de rosesEn complément, on trouvera dans cet ouvrage l'introduction que Jean Daujat écrivit pour sa biographie Thérèse de Lisieux, la grande amoureuse (Téqui, 1986).